ADN

L’objectif de BFC AMO sera avant tout de définir des projets au service des usagers, en prenant en compte le contexte local, son histoire, les besoins actuels des maitres d’ouvrages publics ou privés, tout en imaginant les besoins futurs, pour obtenir ainsi, des projets sur-mesure. La qualité d’un projet dépend des échanges avec la maitrise d’ouvrage et avec son environnement immédiat. Ils sont la base d’un projet architectural. Le site, et ses contraintes, peut à lui seul inspirer et modeler le projet (orientation, pente, forme, étude de sol, etc.).

A chaque nouveau projet, pour aller au-delà de la commande, une partie de la réflexion se portera sur la recherche de solutions innovantes, engagées, et répondant aux contraintes actuelles (développement durable, sobriété, pérennité, efficacité énergétique, réemploi, etc.), et aux évolutions de la société d’un monde en mouvement. Comment penser la ville de demain ? Comment les usages évoluent-t-ils ? Comment concevoir un projet exemplaire ? Comment anticiper la démontabilité d’un bâtiment ? Comment faire corps avec l’enveloppe de départ ?

Il s’agit enfin de vous apporter une réponse personnalisée sur la base de votre cahier des charges dans le respect de votre budget et de vos délais.

Limiter

l’artificialisation

des sols​

La construction représente 40% des émissions de gaz à effet de serre en France (de la construction au fonctionnement en passant par la production des matériaux et leur transport). C’est pourquoi, afin de limiter ces émissions, BFC AMO portera d’abord son regard sur la réhabilitation, la restructuration et la réutilisation de l’existant. Les richesses du passé peuvent être un réel atout dans un projet, une ligne directrice.

Les enjeux climatiques actuels nous poussent à réfléchir et imaginer la conception d’un projet autrement pour éviter notamment l’étalement urbain. Comment « recycler » les bâtis et sites existants ? Comment faire avec l’existant ? Voici des questions qui font écho dans le travail de BFC AMO au quotidien. Cela passe également par le réemploi de matériaux de déconstruction permettant de limiter les déchets de chantier et de réduire le prélèvement de nouvelles ressources. Il s’agit-là d’une réflexion globale, qui pourra être mener dans le cadre de vos projets.

Apporter

une réflexion

durable

Les programmes urbains et architecturaux de demain imposent une réflexion durable, en proposant des projets évolutifs, hybrides, qui s’adaptent aux différentes évolutions au cours du temps et au réchauffement climatique. L’analyse du cycle de vie (ACV) appliquée au bâtiment et imposée dans la réglementation environnementale RE2020 permet de quantifier les impacts environnementaux d’un bâtiment de sa construction à sa fin de vie. Mais qu’en est-il de la prise en compte de son impact à l’échelle d’un quartier et de sa reconversion possible lors de son cycle de vie ? Ne pas obérer l’avenir : voici un nouvel engagement à prendre en compte dans chaque projet.

Le bon sens

au service

des usagers

On parle souvent de conception « bioclimatique ». Il s’agit surtout d’une conception sur le principe du bon sens sur laquelle BFC AMO s’engage à travailler dans chaque projet. Comment tirer de l’architecture existante le meilleur parti sur le plan thermique ?

Il en est de même pour l’utilisation de matériaux bio et géo sourcés. Même si BFC AMO privilégie généralement cette solution (le bois, la fibre de bois, la ouate de cellulose, la paille, la terre, la pierre, etc.), la doctrine « le bon matériau au bon endroit » doit être suivi dans chaque projet.

Less

is

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Tout action effectuée émet du carbone. Dans la construction, de la production d’un matériau jusqu’à la pose sur le chantier (les chutes, le gaspillage, la mise en déchetterie, le transport, etc.) il y a des émissions de gaz à effet de serre. BFC AMO intègre donc une approche « low‐tech » dans chaque projet avec un recours en priorité à des techniques pertinentes, adaptées, non polluantes ni gaspilleuses, comme à la mise en place d’appareils faciles à réparer, à recycler et à réemployer. « Chaque kilo de CO2 compte. » comme le rappelle la paléoclimatologue Valérie Masson-Delmotte.

Il est également préférable de développer des systèmes simples, robustes et passifs plutôt que des systèmes complexes électriques ou numériques (exemple : les systèmes de régulation de la ventilation automatisés sur sonde CO2, qui se dérègle sur le long terme, où l’on préféra un bouton gradateur manuel qui permettra de régler le débit de ventilation en fonction de l’effectif).

Enfin BFC AMO privilégie une « architecture à 100km » pour limiter les impacts du transport des matériaux, mais également les constructions légères qui bénéficient de nombreuses qualités : modularité, flexibilité, évolutivité, rapidité de mise en œuvre (préfabrication), faible impact écologique, faible empreinte carbone, limitation des nuisances, etc. Les modes constructifs d’hier ne sont plus adaptés au bouleversement climatique actuel (usage de l’eau et du sable pour le béton, poids carbone pour la production du ciment et des aciers, etc.).